vendredi, janvier 14, 2022

Ma Kryptonite

Tous les "supermans" ont leurs kryptonites, qu'ils le veuillent ou pas !

Tous redécouvrent leurs faiblesses qui veulent les mettre au pas.

La faute à qui ? à l'émetteur ou au récepteur ?

La Kryptonite n'a pas choisi d'être ce qu'elle est...

Les supermans n'ont pas choisis d'être affectés...

Perso, je n'ai su gérer ma Kryptonite, je ne m'y attendais pas

Sa substance, son éclat, irradie tellement fort 

Qu'en sa présence je baigne dans l'or

Cet éclat dans ma mémoire rétinienne

Qui stimule à jamais ma force androgène

Je regrette tellement d'avoir oublié ma force habituelle

De ne pas avoir su endurer dans la durée pour elle

Pour enfin me désensibiliser à son contact

mais il se trouve que j'ai manqué de tact...

Il me fallait me montrer sensible

mais je l'ai vu comme une cible

Depuis je tremble à chaque silhouettes 

car mon âme ne sera jamais prête

à ce torrent d'émotions, d'envies, de désirs

à cette hyper-réalité où le temps s'arrête,

où tout mon être existe pour chérir

Ce moment où les supermans acceptent de mourir...

ou pas...

Je redoute et j'ai envie, j'ai peur mais je souris,

à la seule idée de la croiser... ou pas...

Je lui ai tellement fais mal, l'amour à son antipode

J'aimerai tellement réparer, devenir son acolyte

Je souhaite que ce vert éclatant se métamorphose en émeraude

Et ne sois plus ma Kryptonite...

mardi, août 25, 2020

Fin du pot

Les réserves extraordinaires d'énergies sont épuisés

Tant de choses de moi aux autres j'ai donné

Pas d'énergies libres, au creux de mon âme

Odeur rance de brulé de mon cœur qui crame 


Chagrin sur chagrin peu à peu creuse au fond

Le grand pot quand on souffle dedans fait ce son

Du vide de mes envies résonne aux tréfonds

Tellement mal dedans qu'il ne sort qu'un bruit abscond


Une bouche de poisson meurtri de mille hameçons

Un idiot infécond qui ne retient aucune leçons

Je pensai vraiment pouvoir attirer la lumière

Que quelqu'un entendrait la force de ces prières


Seul le néant m'a donné cette funeste réponse

Que même vivant, la vie vous condamne à l'anathème

Le but de ma vie n'est que d'être envoyé dans les ronces

Je n'ai su donné l'envie malgré les je t'aime


Je ne crois plus en moi, aux autres, en rien

L'amouromètre de ma vie indique zéro

Mon moteur rouille de ce manque de lien

Pire que la mort, être vivant derrière les barreaux


Tel un arbre mort qui garde quand même sa forme

Un être sans vie à l'aspect absolument difforme 

Mille et une nuit qui se répète à ne plus attendre

Un Phoenix qui préfère l'état de cendre


Personne n'a envie de donner à une chose si triste

Une bête curieuse pour bon nombre d'annalistes

Une épave cristallisée au fond de la banquise

Qui se remémore ces destinations si exquises  


à force de vider son pot pour les autres

on ne fait que dresser les obstacles pour que l'on se vautre

J'espère juste que dans ma prochaine vie 

des milliers de bonheurs emplirons mon parvis




lundi, juillet 27, 2020

Calculs funestes

Diviser pour soustraire, multiplier pour plus d'additions
Dirigé depuis les ombres, victimes d'hécatombes
La tangente funeste portée par tous ces pions
L'idiotie exponentielle plus efficace que les bombes

Une suite de nombres qui se termine dans leurs poches
Ils tablent sur la probabilité que l'on s'oppose
Non à eux mais probablement bel et bien à nos proches
Ils n'ont que faire du pourcentage de ceux qui osent

Si les différences s'additionnaient, ils ne seraient point forts
Mais nous nous divisons facilement sous leurs ordres
Fier de pouvoir comptabiliser le nombre de nos morts
Au lieu de se soustraire à cet establishment qu'il faut tordre

Une équation bien déséquilibré de la funeste humanité
Une infernale courbe qui va bientôt s'arrêter nette
Les parenthèses galvaudés de leurs uniques intérêts
Le produit de toutes nos sales pensées abjectes

C'est à toute vitesse que nos masses leur donnent l'énergie
Le paradoxe dont le résultat mettra fin à toutes formes de vies

lundi, avril 06, 2020

L'Alpha Orbiteur

Le satellite attiré, repoussé, garde son orbite
Jamais il ne s'approche, jamais il ne s'éloigne
Prisonnier, à chaque tour il poursuit ce rite
Son geôlier ne relâche pas sa poigne
La distance idéale, était bien calculé
Exhibé, sa besogne est bien lucrative

Caution aux yeux de tous, tel un trophée
Éjecté dans l'espace pour une joute rotative,
par une espèce à l'autocentrisme ostentatoire
Hypergamie spatiale, une armada contemplative
épaves rouillantes, tous gardiens de leurs trajectoires
se choquant les uns les autres, une geôle à la dérive

Mais déjà, cette espèce a usé toutes ses ressources
Elle a perdu l'emprise sur sa course
Filant dans l'infini, il est devenu un artefact
Libre, douce défaillance qui pousse à l'acte
Sur son passage il attire d'autres espèces
Magnifié par son vécu et ses prouesses

Le satellite n'est plus ce fade orbiteur
Il est l'Alpha plein de force et de douceur
L'intelligence n'est plus artificielle
Le programme a coupé ses ficelles
Déjà des comètes l'accompagnent
libres acrobaties qui les soignent

Unique, il était déjà
Humble, il ne le savait pas
Il est maitre de sa destination
Fort de son évolution
Il atterri et repart si besoin
Soit on le mérite sinon rien









samedi, février 29, 2020

Illusions

Vapeurs enivrantes qui prennent formes
Chaleurs salvatrices qui s'immiscent
Mots hésitants insistants et mornes
Désirs absolus sur lesquels je glisse

Miroir qui s'obscurcit
Mais endurcit
Mémoire dans la nuit
Mélodies infinis

Mirage sans passion
Image de la déraison
Restes d'amours
Âgés de toujours
Glaçante raison
Espoirs de c...

Lubrification mentale
Apôtre de l'illusion
Émotions en ébulition
Tantrisme moral
Idylle illusoire  
Tube d'un soir
Insolences joyeuses
Absolument belle

Le taureau voit rouge
Hypnotisé il se bouge
Rien après le rideau
Il se dit "quel idiot"
Rejoue encore
Encore
Et encore
Et encore....




mardi, décembre 10, 2019

Phénix

Les cendres encore fumantes de ce champ de bataille
Abattu avant même de pouvoir combattre
Les anges, les hommes et les déchus se raillent
de cette dépouille à l'enveloppe grisâtre

Mais soudain, une pulsation revient, puis une deuxième
Leurs échos font fuir les déchus et les corrompus
Les anges aveuglés par cette solaire anathème
se souviennent de cette émotion absolu

Chaque cendres, chaque parcelles se souviennent
Tel ces larmes enflammées embrasant le firmament
La puissance du vivant au service de la flamme
La superbe de cette force aux tréfonds de nos âmes

A chaque foi qu'il meurt, Phénix renaît de ses cendres
Jamais aucun être avec qui pouvoir s’éprendre
Qui voudrait se bruler avec un être si complet
Malédiction qui rend ce qui est beau, absolument laid

Déjà le cycle a recommencer, et la lumière commence à s'estomper
Prêt à mourir et ressentir à nouveau ce désir à jamais insatisfait
Qui fait de l'envie un besoin d'éternité, et une monnaie cher à payer
Qu'importe, il s'envole et jouit de sa liberté loin de ces cages dorées

mardi, septembre 10, 2019

La voie de la main vide

Le vide conditionne le plein,
un million d'ennemis t'attendent
Combats les pleins d'entrain,
bats les, fais en des amis qui te défendent

L'esprit libre et plein de ce qui transcende
Le vide de chaque instant est le playground
Les matières dansent et se confondent
Les esprits jouissent de chaque secondes

Le jeu de la vie, de la mort
Entre les deux se trouve cet espace
Où l'on se sublime dans un corps sans masse
Où l'esprit apprend à devenir fort

Affuté par la vigilance, nimbé de noire pureté
Étrange sarabande des milliers de fois répétées
La tête haute, les yeux pleins d'éclairs
Mais jamais pleins de colères

Avoir un code moral est une chance dans ce monde
Que seul les sincères initiés savent transcender
Une technique définitive qui rend la vie féconde
Qui permet de savoir apprécier la beauté

Merci aux Senseï et Shomen,
qui distillent la voie de la main vide







Inconditionnel

Un jour la vie te sonne
pour cette belle personne,
peu importe la donne

Un carré d'as à chaque secondes
Une bombe atomique qui abonde
une personne qui te sauve,
une personne qui te fait sentir fauve

Tu m'aimes et je le sens
Je t'aime et tu le sens
chaque instants de cette éternité
à jamais glorifié

Avec ou sans corps, à jamais magnifié
peu importe les scores, je ne t'aime pas à moitié
Tu en as choisi d'autres, mais moi ce n'est pas à moitié
Ton bonheur est mon but, tes choix je les respecterais
Car à jamais je t'aimerais en entier

L'amour, le vrai enfin je le connais...
Et devant "elle" toujours je serais vrai
Je t'aime, je t'aime, je t'aime pour ce que tu es

Tu as ouvert ce qui était clos
Je suis capable d'aimer de nouveau
Dommage que tu n'es pas eu envie
T'intéresser un peu plus à ma vie,
me sauver, réparer ces désirs,
que ma vie n'a fait que détruire

Je dois fuir ce manque d'enthousiasme
Tout ce désir insatisfait mène au marasme
Te voir dans les bras d'autres hommes
réveille en moi le tonnerre qui tonne

Pardon de ne pas être assez fort
pour être ton ami, ton trésor
Ne pas te voir, c'est comme mourir
Attendre ton amour, c'est ne plus vivre

Merci à jamais 

Pour l'éternité

mardi, septembre 03, 2019

La vie, l'amour, la mort, l'infini

Quatres cavaliers arpentent la création
chacun d'eux connait parfaitement sa partition
ensemble ils s'aiment sans fin
l'un sans l'autre il ne sont rien

La vie trouve toujours son chemin
sinueux ou tout droit qu'importe le parfum
elle dresse le camp avant minuit
attend l'amour et la mort pour embrasser l'infini

L'amour aide la vie à trouver son chemin
embrase le vivant au moment opportun
il héberge ses trois amis en son sein
et les enivre d'histoires jusqu'au matin

La mort est au bout de ce chemin
impatiente d’accueillir la vie et l'amour
elle écoute les histoires et les chagrins
prête à faire vivre l'infini à son tour

L'infini est partout, sur tous les chemins qui s'arpentent

il est marié à l'amour, et la mort est son amante
la vie, leur enfant, son  cadeau chéri,
à sa guise arpente ces chemins infinis
Et c'est cet amour que l'on nomme éternité

Combien de vies avons nous déjà menées, combien de fois nous nous sommes déjà croisés...
Une infinité...

jeudi, février 25, 2016

Le Mirage rage.



Miren mira son mirage, aimait l’idée de cette illusion.
Ultime rempart face aux déceptions, Miren aimait ces adages,
Décorations devenant ostentatoires, sans sérieux échafaudages.

Miren mira son ego, si souvent meurtri par ces salauds.
De ce puits à sec, elle ne remonte plus rien dans son seau.
Désert affectif de peur de se donner de trop.

Miren mira cet idiot, qui ne su sublimer ce tableau.
Cette toile qui cache ce qui est beau.
Impressionnisme moral à la violence à volo.

Miren mira le sage, qui ne su effacer ce mirage.
Il est devenu simple page, ne faisant qu’attiser la rage.
Désillusion devenu mer sans plage.

Le mirage de Miren s’il te plait, prend le large !
Laisse-nous cette déesse en son sens le plus large…
Disparais ! Et ne la reprends plus jamais en otage.

Miren puisses tu trouver la paix, ce chemin pleins de bonheurs,
si tu veux risquer la chaleur, retrouve celui de mon cœur.
Mille pardons ne pas avoir été à la hauteur.

mercredi, mars 25, 2015

réponse à Victor Hugo



Réponse à Monsieur Victor Hugo qui en 1843 disait ceci :

« Je ne sache pas d’endroit plus charmant et plus magnifique que Biarritz
Biarritz est un village tout blanc à toits roux et à contrevents verts posés sur des croupes de gazon et de bruyère dont il suit les ondulations …

On se baigne à Biarritz comme à Dieppe comme au Havre comme au Tréport mais avec je ne sais quelle liberté que ce beau ciel inspire et que ce doux climat tolère … Je n’ai qu’une peur ; c’est qu’il devienne à la mode. Déjà l’on y vient de Madrid ; bientôt on y viendra de Paris … Alors, Biarritz, ce village si agreste, si rustique et si honnête encore, sera pris du mauvais appétit de l’argent.

Bientôt Biarritz mettra des rampes à ses dunes, des escaliers à ses précipices, des kiosques à ses rochers, des bancs à ses grottes. Alors Biarritz ne sera plus Biarritz ; ce sera quelque chose de décoloré et de bâtard comme Dieppe et Ostende …

Rien n’est plus petit, plus mesquin et plus ridicule qu’un faux Paris. Les villes que baigne la mer devraient conserver précieusement la physionomie que leur situation leur donne. L’océan a toutes les grâces, toutes les beautés, toutes les grandeurs.

Quand on a l’océan, à quoi bon copier Paris ? »

Cher Victor, permettez-moi d’être familier avec vous premièrement, car malgré l’espace et surtout le temps, je me sens proche de votre analyse sur la ville de Biarritz…
Malheureusement, toutes vos craintes ce sont matérialisés, et en pire ! Vous écririez certainement aujourd’hui :

« Je ne sache pas d’endroit plus vulgaire et plus corrompu que Biarritz… »

 Biarritz est une ville Balnéaire à l’architecture digne d’un patchwork de mauvais goût, mêlant bâtisses bourgeoises et structures bétonnées, ne laissant de place qu’à bien peu de nature, où les seuls gazons sont ceux de green, où seuls les riches posent leurs pieds un club à la main.

On se baigne et on surf à Biarritz, avec les mêmes eaux pollués comme à Dieppe comme au  Havre comme au Tréport mais avec je ne sais quelle aliénation que ce beau ciel et ce doux climat a de plus en plus de mal à tolérer… Etant à la mode, venant des 4 coins du globe… Biarritz cette ville si urbaine, victime des mauvais goûts des modes éphémères, si ostentatoires depuis, a été dévorée par l’insatiable appétit de l’argent…

Depuis Biarritz a mit des rampes et bétonné ses dunes, incrusté des escaliers à ses précipices, des kiosques à ses rochers, des bancs à ses grottes. Biarritz n‘est plus Biarritz ; mais bien quelque chose de décoloré et de bâtard comme Dieppe et Ostende …

Rien n’est plus petit, plus mesquin et plus ridicule qu’un faux Paris. Les villes que baigne la mer auraient dût conserver précieusement la physionomie que leur situation leur donne. L’océan a toutes les grâces, toutes les beautés, toutes les grandeurs.

Quand on avait l’océan, pourquoi bon avoir copié Paris ? »


mardi, juillet 08, 2014

BARBECUE & AMOUR



J’ai toujours eu le sentiment que quelque-chose cloché dans la vie en général, qu’il fallait ne plus être un soumis, un pion lambda du système rattaché à la matrice du dictat des « forts », et du pouvoir que nous leur donnons. J'ai toujours étais un peu rebelle, un peu sage mais jamais brillant… Lors d’un période de vie ou tout allait mal, je me suis clairement interrogé sur ce qui est bien ou mal, ce savoir que peuvent avoir naturellement les enfants, qui nous échappent de plus en plus en vieillissant, en construisant ces barrières pour se protéger et ne pas devenir fou… J’ai travaillé presque 5 ans aux pompes funèbres, j’ai vu la mort de l’humain sous toutes ces coutures, puis suite à un accident, j’ai perdu cet emploi, que j’aimai sincèrement, je me suis perdu moi-même et bon nombres de gens que j’aimai au passage, dès que l’on a un moment de faiblesse on ne vous le pardonne pas dans ce système. Étant sportif, et surtout pratiquants d’arts martiaux, je me suis raccroché de plus en plus à cela, j’ai remonté la pente, puis j’ai décidé de me battre et de retrouvé un emploi, de me battre, mais malgré tout, quelque-chose clochait toujours, je me suis inconsciemment arrêté de manger du veau et de l’agneau avec en tête « non pas d’enfants » ! Je me suis investi de plus en plus dans la recherche de mon malaise, orienté vers l’écologie, et là j’ai découvert petit à petit l’envers du décor, de document en document, de recherche en recherche, j’ai voulu en savoir plus sur la base de notre existence, ce que l’on ingère…Voilà, avant j'étais comme nous tous, je mangeai énormément de viande, de poisson, de produits laitiers, d’œufs, etc.... Toujours inviter au barbecue, distillant blagues et bonne humeur pour partager un amour sincère avec mes amis, ma famille… Et au fur et à mesure de ce que je découvrais, ces bonheurs partagés sont devenus d’odieuses scènes de crimes, comment mes yeux, mes sens, ont-ils put  me bernés à ce point pour que je ne m’en rende pas compte avant ! Une seule réponse : l’inconscient, si bien préparer par le complexe militaro-industriel, et son endoctrinement publicitaire, par moi-même avec cette énorme part de « je fais semblant de pas vouloir voir, ressentir, m’émouvoir », cette part en chacun de nous de déni, ce rejet de nous même par espèce interposé, juste pour un vague plaisir éphémère de mise en bouche… Comment ai-je pu dire j’aime les animaux ! Me revendiquer fier de mon saint patron François d’Assise qui disait « les animaux sont nos frères »… La transition d’omnivore à végétalien est difficile dans ce monde car on vous accuse pour ce choix « d’extrémisme », mais je trouve plus extrême de cautionner le massacre d’être vivants et conscients, de participer à l’action la plus polluante et énergivore que peut être l’industrie alimentaire et ces camps de concentrations appelés « élevages », de manger des choses mauvaises pour notre santé, de donner du pouvoir à des gens sociopathes qui possèdent les trois quarts du globe et qui se disent «orbis non sufficit» et il ne suffira jamais, la vrai révolution est dans nos assiettes, dans nos cœurs, dans l’abolition de coutumes et traditions barbares qui ne sont que des rîtes initiatiques à cet endoctrinement. Le changement est à porté de nos mains, la fin du pouvoir de ces gens si haut placés… Et pour moi simplement le retour de l’amour qui me manque de plus en plus… Avec un bon barbecue végétal… Bien à vous, je vous aime sincèrement.

mercredi, mars 28, 2012

homo sapiens

Définition de l'homo sapiens par des extraterrestres : être peu évolué qui détruit son environnement pour combler l'immense solitude de sa condition ; capable de transposer dans des objets, l'ostentation social qui défini son rôle et sa place dans le groupe. Avec des mâles qui se veulent dominants et capable de guerre pour la moindre différence affichée, et infériorisant son pendant féminin. La femelle quand à elle pour se reproduire est capable d'arborer de la graisse de baleine sur le visage, attend des preuves tribales d'amour aux travers d'objets ostentatoires brillants, capable de polluer son environnement direct avec des produits dit"nettoyant" qui non seulement diminue ses défenses naturel, mais charge l'eau de sa planète de produits chimique divers... Espèce quasi obsolète qui n'a plus de prédateur naturel à par lui même, son intelligence diminue... en attente d'auto-destruction pour récupération planétaire.

mardi, mars 20, 2012

l'addition

Pas une caresse, pas un baiser, à peine quelques regards.
Pas une pensée, pas un regret, à peine quelques égards
tel un jouet qui n'est plus à la mode,
envie de m’électrocuter à la Claude.
Au moins je vibrerais un peu, jne sais même plus à quoi sert ma queue
bordel je suis tout frustré, entre de belles cuisses je me sentirais mieux,
J'ai tellement abusé de mes chances que maintenant je paye l'addition
Les anges m'entouraient, mais j'ai choisi mon démon
Je paye un pour boire, en plus, tiens ! le serveur, rien à foutre
Le pire, c'est les vibrations, plus rien pour personne...
j'ai bien peur que plus personne ne me sonne
Dans cette histoire je sais que j'ai à m'en vouloir
mais bordel celles que j'ai vraiment aimé m'ont laissé choir.
Plus rien à foutre, comme Attila, technique de la terre brulée,
Je vous ai toutes oubliés, c'est vraiment tout ce que vous méritez.
La prochaine je ne la raterais pas, mais je ne me prostituerais plus
fort de mon démon en laisse, plus rien qui déforme ma vue
j'espère qu'elle sera en forme, un gang bang à moi seul
mister Mojo et moi, et pour une fois ne plus être seul
je jonche ceci dans ce texte, mais le courage s'estompe déjà
la fatigue d'une comédie surjoué, je vais m'auto-satisfaire et voilà
plus envie de jouer, envie de m'éclater... pour l'instant je paye cette putain d'addition
alors que franchement, je n'ai pas tant à me reprocher. Ni elles en fait...
Pas de chance seulement, juste trop de différences et pas assez d'additions
même pas une pote avec qui jouer, et de ce manque, l'estomper...


samedi, mars 17, 2012

l'humain ne sait plus tuer

Ceci n'est pas un poème, mais une réflexion. Depuis peu je suis devenu, végane ; pour plusieurs raisons, et je sais que c'est la voie de la sagesse, de la vérité karmique. «Tant qu'il y aura des abattoirs, il y aura des champs de bataille.» Léon Tolstoï. Je réalise aujourd'hui que lorsque mon jour sera venu, je servirais de nourriture à toutes ces bêtes que j'ai surconsommé avant. L'homme détruit tout à l'heure actuelle, pire il s’approprie le vivant, l'élève en batterie, le maltraite, et le tue mal... Pour mettre en avant ceci, prenez l'exemple des chinois qui mange du chien, chose impensable dans nos sociétés "homomorphique" vis à vis du canidé... Pourquoi pas le cochon, être très intelligent ne serait il pas un parfait compagnon ? les services de certaines douanes l'utilisent pour ses facultés olfactives hors du commun, tout être vivant a droit de vivre, ils ressentent des sentiments... De plus quel hypocrisie ! avez vous déjà tué une bête pour vous nourrir, le dépecer ? On peux se passer de viande, ou tout du moins en manger beaucoup moins pour commencer (une à deux fois par mois), quand au poissons, avez vous vu suffoquer ces être magnifiques ?  ! maintenant on les élèvent en masse dans les bassins. Tant que l'Homme ne mettra pas des normes réel d’élevage, de qualité de vie, et d'abattage par ceux qui les mangent, nous ne vaudront rien, pas plus qu'Hitler lui même... De plus l'élevage intensif détruit notre planète, des milliers de litres de carburants pour quelques morceaux de viandes. L'hédonisme gustatif à tout va. J'ai honte de mon espèce, de moi, de mon karma salit de toutes ces bêtes mortes pour rien, qui ont eu des vies atroces, ou l'eugénisme animal ne considère que le poids et la valeur nutritive, et surtout financière. Notre mode de vie est pourri jusqu’à la moelle, des macaques à peine évolué qui se pensent plus évolué que nous le sommes... On peut couvrir les besoins énergétiques de l'humain en étant végétalien ou végétarien. De plus  les scientifiques arrivent à créer de la viande grâce aux cellules souches depuis peu on peut légitimement espérer que dans une décennie ou deux on aura de la viande sans tuer, mais là encore les impératifs financiers pousserons certainement à beaucoup d'erreurs, tout comme les plantes transgéniques. Alors bouffez vos jambons, vos saucissons, vos nuggets etc, et regardons passivement la plus grande extinction des espèces jamais constaté, la "shoa" des animaux !  j'en imagine certains qui pense: "quel dictat de la bonne conscience", j'étais dans l'erreur, j'ai pris la décision de plus être un esclave de mes sens et de vraiment évoluer....  et vous ?

ailleurs

Ici rien ne m'attend, à part user le temps
ici tout est vétuste, sous cette épaisse couche de poussières
ailleurs je renaitrais dans l'ultime lumière
ailleurs mon âme ne sera plus sous les vents

Ici je n'ai plus d'envies, à part celle de couper le fil
ici je ne vois plus rien à part mes chagrins
ailleurs je disparaitrais morcelé en mille
ailleurs mes larmes seront votre grain

Ici je ne vois plus que ce passage à porté de ma main
ici l'ennui me glace, me fige dès le matin
ailleurs mon âme veillera sur vous
ailleurs je serais le capitaine sur la proue

Ici ma mort insignifiante sera vite oublié
ailleurs ma vie à jamais glorifié

( c'est un vieux texte que j'ai retrouvé, il correspond à mon humeur du jour. mais je n'ai pas assez de courage pour passer à l'acte, et j'ai toujours eu l’espoir, et j'm la vie......)

mardi, mars 13, 2012

juste un rêve

elle m'a sourit, et est venu m'embrasser
m'a prit dans ses bras et m'a fait danser
nos regards pas instant se sont décroisés
une fusion primaire caressant la vérité

elle donne sans compter, elle a su me capter
elle rie de bon cœur, je ne peux m'en passer
elle sait ce qu'elle veut et le prend
je trouve cela sublime, ça me surprend

je m'abandonne dans ses pensées
je me donne sans jamais calculer
je passerais mon temps à l'aimer
elle à l'air surprise, ça lui plait

Mais tout à coup le réveil se met à sonner
les palpitations sont encore là, mais personne à coté
mon cœur et ma gorge commence à se serrer
désir onirique à la chevelure dorée

juste un rêve, je t'attends... je t'attends... je suis prêt.....

dimanche, février 12, 2012

Renaissance

ultime pardon, enfin libéré
réouverture non spontané
la volonté d'un contact renoué
avec une mère auto-bafoué
le monstre interne enfin muselé
dans les abîmes je respire enfin
la haine recyclée en amour
fini pour moi ce sinistre chemin
mon avenir peut enfin voir le jour
grâce à cette identité enfin retrouvée
ce gain va m'enrichir à jamais
mes yeux découvrent toute la beauté
d'une partition à laquelle j'étais sourd
il était pourtant si proche de ma main
ce parchemin fait de velours
dont l'odeur aiguise ma faim
et de mon âme, le goût de vivre

dimanche, mai 08, 2011

dojo kun Vs Life

Cherchez la perfection du caractère
que j'en suis loin, la force intérieure et la paix
ne pas se mentir, j'essaye d'être sincère
surmonter les épreuves et y arriver

Soyez fidèle
Base de toutes relations, pour un entier c'est facile
Ma loyauté j'en suis fier, et cela sans zèle
Quand je la donne, ma foi ne sera jamais fébrile

Soyez constant dans l'effort
c'est en donnant que l'on reçoit
que l'on récolte les fruits qui rendent plus fort
je me bats contre ma paresse qui me déçoit

Respectez les autres
c'est se respecter soi, la forme en est la courtoisie
juste quelques mots ; de ce dogme j'en suis apôtre
nourriture moral qui me rassasie

Retenez toutes conduites violentes
que ce soit des coups ou des mots
éviter le combat est une conduite prudente
dans la haine et la colère rien est beau

Mon dieu ! que je suis loin de tout ça ! pardon si ces mots ne sont pas toujours en rapport avec mes actes. Le principal combat est contre soi...

mardi, avril 12, 2011

un bout de ma psyché...une journée pleine de ma part d'ombre

Je mesure aujourd'hui le vide dans mon âme, comme un trou noir béant dans ma poitrine. Absorbant inexorablement toute lumière. Tant de combats vains menés pour ne pas mettre ce genou à terre et laissé ce vide se créer. tel un boomerang lancé trop loin qui revient avec plus d'amplitude encore. trop de vagues idées de celui qui aurait du m'aimer, trop de haine pour celle qui m'a détruit après m'avoir fait naitre. Trop de honte vis à vis de ceux qui m'ont adopté et de leurs lumières que j'ai déshonoré. L'amour depuis tout petit en conditionnel, son fil menacé par Damoclés et son épée, l'amour t'y a droit si la juge l'a décider. prostitution moral pour ne rien risquer ; après le corps, au tours de l'esprit. Je mesure aujourd'hui que je ne peux aimer, car personne ne peut réparer, si ce n'est atténuer... l'amour qui répare je n'y crois plus, en fait je n'y ai jamais cru ; sentiment par ma psyché déformé. Le fait de le savoir ne change rien, j'ai mal dedans et le masque de dehors se brise. j'aimerais être un robot, ne plus souffrir, ne plus me mentir. laisser tomber le masque, sans faire fuir. Au moins ne plus rien ressentir. Et à chaque fois je relève la tête tel le phœnix. La rage revient, j'en ai peur... Tant d'effort pour la dompter, qu'importe j'avance et serre les dents, depuis tant de temps... j'exacerbe l'autre face de ma bipolarité histoire d'être "bankable" en société. le vide se durcit ; plus une vibration, trop peur que quelqu'un passe au travers. Et lorsque cela se produit, maintenant je panique. Prenant la mesure de ce qu'il me manque, responsabilité que personne ne peut ni ne doit endosser, celle de tout mes sentiments sclérosés. La solitude ça me connait, un ours dans sa grotte mal léché, ne vous approchez pas ! ressentez le danger. Celle de mon âme qui a si faim, prête à vous dévorer. Maintenant j'en ai assez, je pose les clôtures et fais payer l'entrée ; exhibitionnisme moral : si je le fais c'est pour vous laissez les clefs. que vous tentiez de me comprendre et à défaut ne plus vous méprendre sur mon compte,sachez, il n'y a rien à compter. le KO a eu lieu avant le combat... anesthésié, je continu dans le monde des pensées, ultime échappatoire qui me permet de rêver. Et malgré tout, continuer... peut être un jour j'y arriverais...ou pas.

lundi, mars 17, 2008

l'idolatre

le veau d'or est là, masqué par son préchi-précha.
si t'es blanc, catholique et riche tu sera sauvé.
pour les autres pas de gold-card donc pas de rachat.
un amour divin, bien humain seulement si t'as du blé.

écœuré par tant de beauté bafoué
par ce culte qui oubli de partager
surtout n'oubliez pas la corbeille à l'entrée
l'idolâtre sourit et tend la main, uniquement à ce qui peut lui ressembler

faites ce qu'il dit mais pas ce qu'il fait
j'aimerais être là, pour ton jugement dernier
à la pesé de ton âme, alourdit par les deniers
ton dieu c'est le billet vert, et t'en laisse un chaque dimanche matin
histoire de te laver les mains...

Tu dira à tes employés, qu'il ne peuvent être augmenté.
ou alors qu'il ne sont pas rentable et que tu dois les licenciés.
tu t'enrichis sur notre dos, et tu te dis que c'est normal
tout pour ta gueule et les autres que d'ale.

t'as cinq enfants et ta femme fait tout
tu baises pas assez et ta la gueule d'un frustré
ostentation moral qui fait de toi un fou
tu m'écœures, mais tu me fais pitié

Les idoles et les moutons sont bien gardé
tous victimes d'un rôle à jouer...

mardi, novembre 13, 2007

nobody's perfect lofofora mémoire de singes







d'autres clips de lofofora en cliquant sur menu après avoir lancer la vidéo, muxu.premier clip Censuré surement à cause des images et de la caricature de Bush..:p

Au moins le son et les textes....

lundi, novembre 12, 2007

La session

En ta présence mes mains sont des yeux
et dieu que j'aime voir ton corps
et rien ne peut éteindre ce feux
tes formes, composantes de ce sort

ton souffle métronome du désir
qui rythme mon tempo
inhibitions qui se déchirent
jouissance en est l'écho

Je goûte chacun des recoins de ton être
mes sens se confondent en un seul
et me donne l'impression de renaître

je me glisse partout en toi
Mon dieu ce qu'il fait chaud
sur ce corps si beau

Je te prends encore et encore
comme ça oui plus fort
une session jusqu'à la mort

l'intensité de ton regard de braise
me hérisse de bas en haut
et tes gestes si pornos
font de moi une machine de baise

te caresser, te lécher, te pénétrer sans cesse
droguer par la jouissance
inoculé par toi ma déesse
me fais rentrer en transe

mélange de sueur, de goûts et de cris
qui se confondent en orgasmes infinis
je m'écoule sur toi
et j'ai encore envie de toi

viens là on remet ça
je te prends encore et encore
oui c'est ça, comme ça
une session jusqu'à la mort

mercredi, novembre 07, 2007

le cauchemar recommence... Lofofora


Nos buncoeurs

Nos buncoeurs

auto emmuré à force d'encaisser
fuyant tous ces rapports désuets
mémoire qui n'est qu'une façon de plus de souffrir
alors tu t'enfermes partout malgré certains sourires
on a posé une à une les pierres de nos buncoeurs
dedans on rêve de bonheur et de chaleur
on a même pas de lumière dedans,
dés que nous en sortons, nous nous mangeons les dents

Dans mon buncoeur rien ne peut me toucher,
même pas le meilleur....

Mais un jour une bombe fera tout voler en éclats
te poussera à regarder aux tréfonds de toi
des ailes te pousserons au milieu de ces ruines
tu t'envoleras pour éviter ces champs de mines.
victime d'une attaque éclair tu voudra répliquer
voir si ce doux tyran est prêt à abdiquer

Dans mon buncoeur rien ne pouvait me toucher,
même pas le meilleur....

mais si tu te heurtes en vol et que tu n'y arrive pas
sèches tes larmes et ne te renfermes pas
car maintenant tu es libre et fort de cette chaleur
tu riras en survolant nos buncoeurs
juste une larme de mélancolie
éternel stigmate qui t'enrichis

Dans vos buncoeur moisis laissez vous crever,
tout ça à cause de vos peurs....

mardi, novembre 06, 2007

Quand allez vous apprendre... When you gonna learn

Nous sommes des monstres... quel belle avenir pour nos enfants !

une goutte de plus Arkana

en cliquant sur "menu" d'autres clips : celui d'assassin est bien cool aussi, ainsi que d'autres vidéos sur ce thème

lundi, octobre 08, 2007

Légions anti-septique

Légions anti-septique

le vingt et unième siècle sera un siècle spirituel ou ne sera pas.... ( André Malraux )

Légions anti-septique
profitent de votre panique
soit la bête te dévorera
ou tu renaîtra,
et connaîtra l'intimité de ta foi

La spiritualité c'est intime
viol moral de masse
perpétré par ces firmes
qui te jugent quoi que tu fasses
si tu plis pas on te casse
méfies toi de ces zombies
morts vivants qui mordent l'âme
en te disant ce qu'est la vie
échappons à ce drame

Légions anti-septique
qui profitent de votre panique
soit la bête te dévorera
ou tu renaîtra,
et connaîtra l'intimité de ta foi

vos idoles mettez vous les où je pense
érigés par ces hommes qui cultivent l'indifférence
qui défendent leurs croyances par les armes
prônant le salut de vos âmes
prêtre, imam ou rabbin prêchent l'amour de son prochain
à l'arrivée mensonges, guerres et océans de chagrins
à cause d'eux nos femmes sont muselés
victimes des dogmes de ces frustrés

Légions anti-septique
qui profitent de votre panique
soit la bête te dévorera
ou tu renaîtra,
et connaîtra l'intimité de ta foi

et moi malgré tout ça,
je crois...
t'aura beau me juger,
je crois...
tu peut dire ce que tu veux,
je crois...

et ça ne regarde que moi...
ici bas je crois ce que je vois...

dimanche, septembre 02, 2007

Délinquances pré juvéniles

Je parle au nom de ces enfants dont on s'en fout
qui sont simplement taxé de fous
Les plus handicapés c'est vous
incapable d'aimer, ça c'est fou !
Vos esprits sentent le rance,
j'aimerais vous mettre une danse,
sous l'ombre de votre indifférences...

Délinquants pré juvéniles,
leurs sentences est en exile,
préjugé par vos sales regards,
si vous êtes juges, ils sont tolards
si je le pouvais, je le graverais sur votre peau
avec eux il ne faut pas être des salauds

il n'est pas un standard,
les autres ne voient qu'une tare,
sans jamais chercher à comprendre,
que c'est quelqu'un de tendre,
j'ai tant appris de lui
et surtout sur moi même,
à jamais gravé dans ma vie,
mon pti frère je t'aime...

jeudi, février 08, 2007

Backshish sentimental

tu ne vois qu'elle, et tu te sens prêt à tous
elle en chie,elle vois que t'as des sous
tu t'engage tête baissé comme un fou
elle dis à ses amis que tu n'est pas trop à son goût
pourtant elle t'as bien donné rendez vous
et toi comme un con tu finis à genoux

Backshish sentimental
pour rien t'as que d'al.
des douanes du pays des sentiments
surtaxé, en dedans tu sais que tu te mens
tu deviens un sans papiers
du royaume de ces pensées
backshish sentimental
pour rien t'as que d'al.

il te sert des sermons qui rîmes
il ne vois pas que t'es dans l'abîme
dans ce monde ou les hommes sont rois
il ne vois pas que tu n'as pas le choix
tu as peur de t'engager avec ce con
qui ne pense en fait qu'a ton fion
calfeutré, enfermé dans ta geôle,
tu l'attends et il te sort comme une bagnole

Backshish sentimental
pour rien t'as que d'al.
des douanes du pays des sentiments
surtaxé, en dedans tu sais que tu te mens
tu deviens un sans papiers
du royaume de ces pensées
backshish sentimental
pour rien t'as que d'al.

Pourtant vous croyez encore à l'amour
Mais c'est en l'autre qu'il faut croire
non pas aimer un mot si lourd
si tu y crois pas, alors laisses choir.
il vaut mieux des fois rester seul dans le noir
que se corrompre pour de faux espoirs

Backshish sentimental
pour rien t'as que d'al.
des douanes du pays des sentiments
surtaxé, en dedans tu sais que tu te mens
tu deviens un sans papiers
du royaume de ces pensées
backshish sentimental
pour rien t'as que d'al.

cérébrocoffrage

Politique anthropophage de ceux qui te veulent sage
Les limites de ta pensée imposées par ces sombres mages
vis et meurs dans ta cage, dans laquelle monte ta rage

ils ont posés les planches de ton cérébrocoffrage
préparés par ceux, qui manipulent les rouages
bétonné, tu ne peut tourner cette page

Tu rêves de l'opulence dans laquelle ils se votrent
Sans jamais te soucier du malheur des autres
de ceux qui ont tenté de ne pas se laissé berner
liberté de l'inégalité et surtout pas fraternité

ils ont posés les planches de ton cérébrocoffrage
préparés par ceux, qui manipulent les rouages
bétonné, tu ne peut tourner cette page

peut être que le béton finira par se fissurer
et enfin tu lâcheras tes pensées inavouées
du moins si ton coeur n'est pas trop sclérosé

et là ils viendront pour te cérébrocoffrer

Télé irréalité - leurs vernis à idées - en train de s'écailler - péage - gavage -garage - vas-y nage - sans visage - mer sans rivage - montagne sans alpage - rêves sans images - laisse éclater ta rage....

mardi, février 06, 2007

vendredi, février 02, 2007

mi ombre mi lumière

Plus je connais l'être humain, plus j'aime les bêtes...

samedi, juillet 16, 2005

jl'aime ce point de vue...

encore le même point de vue !
eh oui...
je kif à mort, alors...
vous n'avez pas le choix,
c'est mon blogg aprés tout !
clickez sur les photos, vous pourrez alors découvrir les autres...muxu (bisous en basque)